Tél : 02 99 36 00 59 | Courriel : contact@umih35.com
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NOUS CHRD s'adresse aux chefs d'entreprises du secteur et a l'ambition de leur apporter les informations dont ils ont besoin dans l'exercice de leur métier et le développement de leur affaire.
En même temps qu'il est un magazine professionnel généraliste, il comporte des pages dédiées à l'expression de l'UMIH nationale et des fédérations départementales ainsi que régionales.
NOUS CHRD est donc à la fois un outil de gestion et un outil militant contribuant à fédérer les professionnels dans les combats que l'UMIH mène pour eux.
L'État met à disposition du public des informations sur le niveau d'accessibilité des ERP : stationnement, entrée, circulations intérieures, etc.. via le site ACCESLIBRE qu'il appartient à chacun de compléter !
L'UMIH 35 et son partenaire les Halles Metro vous invitent à découvrir gratuitement les solutions digitales proposées par ce dernier durant une session d'information- Mardi 23 avril 2024
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NOUS CHRD s'adresse aux chefs d'entreprises du secteur et a l'ambition de leur apporter les informations dont ils ont besoin dans l'exercice de leur métier et le développement de leur affaire.
En même temps qu'il est un magazine professionnel généraliste, il comporte des pages dédiées à l'expression de l'UMIH nationale et des fédérations départementales ainsi que régionales.
NOUS CHRD est donc à la fois un outil de gestion et un outil militant contribuant à fédérer les professionnels dans les combats que l'UMIH mène pour eux.
La CGAD qui représente l'ensemble des artisans des métiers de bouche (boulangers, charcutiers, traiteurs, pâtissiers, bouchers, …) ainsi que le GHR et l'UMIH qui représentent spécifiquement les restaurateurs ont exprimé leur satisfaction après le retrait de la proposition de loi visant à imposer la mention « non fait maison » sur les cartes, menus, … des établissements ayant une activité de restauration.
Cette proposition, qui devait être débattue au sein de la Commission des affaires économiques de l'Assemblée Nationale le 20 mars puis dans l'hémicycle à partir du 25 mars, a été retirée au profit de l'engagement d'un dialogue constructif entre les parlementaires, le gouvernement et les professionnels.
Cet abandon ouvre la voie à des propositions plus adaptées et constructives, favorisant la transparence, tout en respectant la complexité de nos métiers.
Nous défendons la qualité et la transparence pour les consommateurs pour toute la filière de la restauration hors domicile, mais nous refusons de faire apparaitre une mention négative sur nos cartes ou tout autre support !
La proposition de loi initiale soulevait des inquiétudes dont la stigmatisation des plats, des produits et des établissements, une classification injuste de plats traditionnels, ainsi que des répercussions économiques sévères pour un secteur déjà en difficulté.
En réponse, nos professions travaillent depuis plusieurs mois ensemble pour élaborer des propositions alternatives visant à renforcer la confiance des consommateurs sans nuire à la réputation et à la viabilité économique des établissements.
Parmi ces initiatives, nous proposons la mise en place d'un système d'affichage spécifique, obligatoire et harmonisé, permettant aux consommateurs d'identifier clairement les plats « fait maison » de ceux non fait-maison, à partir de produits industriels.
Cette approche positive et transparente garantira une reconnaissance méritée du savoir-faire des professionnels, tout en informant les consommateurs de manière claire et directe.
Dans cet esprit, nous continuerons le travail et le dialogue constructif avec les parlementaires et le gouvernement.
Pour Thierry Marx, président confédéral de l'UMIH : « Je comprends parfaitement les préoccupations soulevées par les parlementaires et leur combat contre la malbouffe, cette lutte a mon soutien inconditionnel ! Cependant il est crucial que toute évolution législative et réglementaire tienne compte des réalités de nos métiers. C'est pourquoi nous restons ouverts et engagés en faveur d'un texte positif. » Franck Chaumes, président de la branche restauration de l'UMIH ajoute : « L'abandon de cette proposition de loi ne signifie pas une opposition à la transparence ou à la qualité, bien au contraire : il s'agit d'un appel pour une approche collective, pour atteindre ces objectifs partagés. »
Depuis le 7 mars 2024 un décret impose d'indiquer l'origine des viandes bovines, porcines, ovines et de volailles utilisées en tant qu'ingrédients dans les préparations de viande et de produits à base de viande proposés dans les établissements de restauration, sur place ou à emporter.
Cette obligation concerne tout autant les restaurants et cantines traditionnels que les établissements proposant des plats à emporter ou à livrer, notamment les "dark kitchens".
Elle s'applique aux "viandes achetées déjà préparées ou cuisinées" issues des espèces bovine, porcine, ovine et de volailles.
NOUS CHRD s'adresse aux chefs d'entreprises du secteur et a l'ambition de leur apporter les informations dont ils ont besoin dans l'exercice de leur métier et le développement de leur affaire.
En même temps qu'il est un magazine professionnel généraliste, il comporte des pages dédiées à l'expression de l'UMIH nationale et des fédérations départementales ainsi que régionales.
NOUS CHRD est donc à la fois un outil de gestion et un outil militant contribuant à fédérer les professionnels dans les combats que l'UMIH mène pour eux.
Thierry Marx souligne les enjeux majeurs auxquels sont confrontés les adhérents de l'UMIH en termes de transition écologique : "Améliorer notre impact sur l'environnement et la performance énergétique des établissements tout en maintenant la qualité de service et de confort pour nos clients est notre premier défi. Nous devons également veiller à améliorer la qualité de vie au travail pour nos collaborateurs et renforcer la responsabilité sociétale de nos entreprises. Le monde actuel nécessite une plus grande sobriété énergétique et une meilleure gestion des ressources. Grâce à l'expertise et aux outils de l'ADEME, nos adhérents pourront progresser dans leur démarche environnementale et renforcer la performance de leur entreprise."
Initiée en Nouvelle Aquitaine, cette collaboration nationale avec l'ADEME est un choix stratégique pour l'UMIH. En effet, même si depuis plusieurs années déjà, l'ADEME apporte son expertise technique aux initiatives des UMIH dans nos départements et régions, cette convention marque une étape importante dans la promotion d'une hôtellerie-restauration plus respectueuse de l'environnement et s'inscrit dans une dynamique de transformation durable du secteur.
Cette convention porte sur trois axes principaux :
- Accompagner les entreprises HCR dans la réalisation de diagnostics environnementaux dans le cadre du Fonds tourisme durable
- Appel à projets « Hôtel du futur » pour améliorer l'efficacité énergétique, la gestion de l'eau et le déploiement d'énergies renouvelables
- Lutter contre le gaspillage alimentaire en travaillant sur Gestion des invendus, guides bonnes pratiques professionnelles, solutions digitales
Le réseau Gîtes de France®, spécialiste de l'hébergement chez et par l'habitant, et l'UMIH, Union des Métiers et des Industries de l'Hôtellerie annoncent la signature en décembre dernier d'un partenariat d'envergure, qui vise à favoriser et développer le tourisme rural et créer des synergies favorables aux activités des deux entités. Ce protocole entre les deux organisations va faciliter la mise en place d'actions communes pour mettre en lumière les territoires ruraux et leur richesse.
Une force commune : le maillage territorial
Le réseau Gîtes de France®, qui représente aujourd'hui 42 000 propriétaires et plus de 550 collaborateurs, répartis dans 92 agences départementales, connait depuis plusieurs années une forte croissance. Ce dynamisme bénéficie directement à l'économie locale, grâce à la taxe de séjour collectée sur chacune des locations et reversée aux collectivités. C'est ainsi que Gîtes de France® a reversé en 2023 plus de 24,3 millions d'Euros aux communes françaises au titre de la taxe de séjour, un résultat en progression de 13,5%. A travers son maillage territorial fort, le réseau participe au dynamisme du tourisme en France et contribue à son développement. L'UMIH est présente et active, quant à elle, sur l'ensemble du territoire avec plus de 35'000 entreprises de l'hôtellerie, la restauration, des bars, cafés, brasseries, du monde de la nuit, des professions saisonnières, ainsi que des traiteurs, 2 000 élus et 400 collaborateurs répartis dans 106 fédérations départementales. « Faire connaître nos régions, valoriser nos communes, montrer la richesse des acteurs ancrés sur leur territoire font partie de nos missions depuis près de 70 ans. Nous sommes heureux aujourd'hui de tisser ce partenariat qui devrait permettre de faire émerger partout en France de nouvelles formes de visibilité. La défense d'un tourisme local reste notre priorité. » précise Sylvie Pellegrin, présidente de la Fédération Nationale Gîtes de France. « L'UMIH est présente et active dans tous les départements français. Cette proximité géographique et ce maillage territorial nous permettent une connaissance fine du terrain.
Ce partenariat avec un acteur touristique reconnu accentue notre engagement et notre action au service de tous les territoires. Les enjeux autour du slow-tourisme notamment sont un des axes du partenariat » précise Thierry Marx, président confédéral de l'UMIH.
Les deux entités ont prévu de se rencontrer régulièrement pour faire le point sur les projets communs, tant au niveau national que local. Les synergies des deux organisations vont permettre de déployer de nombreuses actions en faveur de la ruralité.
À propos de Gîtes de France®
Créée en 1955, la Fédération Nationale des Gîtes de France® est un acteur de référence en Europe de l'accueil chez et par l'habitant, 42000 propriétaires ouvrent les portes de leurs demeures et proposent plus de 55 000 hébergements (gîtes, chambres d'hôtes, gîtes de groupe, gîtes d'enfants, gîtes d'étapes, campings & chalets) dans toute la France.
Toutes les offres de location sont disponibles sur www.gites-de-france.com
A propos de l'UMIH : L'Union des Métiers et des Industries de l'Hôtellerie (UMIH) est l'organisation professionnelle N°1 du secteur de l'hôtellerie-restauration. Avec ses syndicats associés, l'UMIH représente 71 % des entreprises adhérentes à une organisation professionnelle. Depuis 70 ans, la confédération représente, défend et promeut les professionnels indépendants de l'hôtellerie, de la restauration, des bars, cafés, brasseries, du monde de la nuit, des professions saisonnières, ainsi que des traiteurs dans toutes les régions et départements de France (métropole et outre-mer). L'UMIH est présente et active sur tout le territoire avec plus de 2 000 élus et 400 collaborateurs répartis dans 106 fédérations départementales (outre-mer inclus). A propos de notre secteur : Le secteur CHRD* est un acteur clé de l'économie française, représentant 229 000 entreprises, 84 milliards d'euros de chiffre d'affaires et employant plus d'1,1 million d'actifs dont 18 % ont moins de 25 ans. Chaque année, 100 000 jeunes sont formés à nos métiers.
Les deux présidents, eux-mêmes à la tête de plusieurs restaurants à Nantes et Paris, et sous le coup de contrats en électricité à des tarifs exorbitants, expliquent, chiffres à l'appui, la situation financière intenable à laquelle sont confrontés les professionnels de l'hôtellerie-restauration.
Selon une enquête menée par les 2 principales organisations du secteur de l'hôtellerie restauration fin janvier 2024, plus de la moitié des professionnels (59 %) restent tenus par des contrats d'approvisionnement en énergie à des prix extrêmement élevés, c'est-à-dire supérieurs à 180 € le MWh alors que le prix du MWh a diminué depuis la fin 2022 et qu'il se situe à moins de la moitié de ce prix.
10 à 15% des professionnels seraient même liés par des contrats avec des tarifs dépassant les 350 € le MWh.
Le coût de l'énergie continue ainsi de représenter une part importante du chiffre d'affaires des professionnels de l'hôtellerie-restauration. La moyenne du pourcentage de chiffre d'affaires consacré à l'achat d'électricité est de 3,8 % dans le secteur.
Pour le GHR et l'UMIH, « ces contrats sont très dangereux car ils pèsent sur la rentabilité des entreprises à tel point que certaines sont désormais dans l'incapacité de faire face à leurs charges d'exploitation et au remboursement de leurs dettes » et de citer le « chiffre des défaillances d'entreprises dans le secteur a augmenté de 44,6 % entre 2022 et 2023 selon la Banque de France ».
« Face à cette augmentation vertigineuse des prix de l'énergie, mais aussi des matières premières et des frais de personnel, les professionnels ne sont pas restés inactifs » explique Thierry Marx.
« Ils essaient d'ajuster leur prix. Mais, les augmentations ne peuvent être la seule réponse d'autant qu'elles se heurtent à un pouvoir d'achat des français qui se contracte depuis des mois ». D'ailleurs, la restauration enregistre une baisse d'activité de l'ordre de 3 % depuis novembre 2023 selon Food Service vision.
« Ils tentent aussi de renégocier leur contrat en approvisionnement. Mais peu y parviennent, poursuit Catherine Quérard. Les chiffres de l'enquête sont à ce titre édifiants. Seulement 53 % des professionnels ont pu renégocier les termes de leur contrat avant leur arrivée à échéance. Ils sont seulement 32 % d'entre eux à être satisfaits de l'issue de la négociation.
« La renégociation de son contrat de fourniture en électricité par un professionnel est une opération perdue d'avance tant le rapport de force entre les parties est disproportionné. Que peut faire un petit restaurateur de province face à EDF, Engie ou Total Energie », interrogent les 2 organisations.
« La renégociation s'impose mais elle exige pour être efficace, le soutien du ministre et l'accompagnement de nos syndicats. Il est nécessaire de réactualiser la charte signée par les principaux fournisseurs en octobre 2022, pour embarquer tous les intervenants du secteur de l'énergie et leur demander de mettre en place un vrai mécanisme de renégociation des contrats en cours, avec des résiliations sans frais. »
« Nous sommes prêts et demandons au gouvernement de nous aider. C'est dans l'intérêt de tous y compris des distributeurs s'ils veulent conserver leurs clients aujourd'hui menacés de disparition » conclu Thierry Marx.